Le président français Emmanuel Macron s'est montré extrêmement mécontent du travail de l'équipe de négociation française lors de la COP29 qui s'est tenue à Bakou.
Selon des informations reçues de sources diplomatiques, Macron a chargé la délégation française d'empêcher l'obtention d'un consensus et de résultats lors de la COP29 tenue à Bakou.
Néanmoins, ses efforts sont tombés sur l'eau, c'est-à-dire un accord appelé « percé de Bakou » a été conclu lors des négociations de la COP29.
La Grande-Bretagne, les États-Unis et la Chine se sont montrés satisfaits de ses résultats.
La France et l'Inde n'en sont pas pourtant.
Il est bien connu que Paris et Macron lui-même faisait depuis longtemps de grands efforts pour empêcher la réussite de la COP29.
Comme indiqué précédemment, la France a déployé de sérieux efforts diplomatiques pour boycotter la COP29, notamment en Europe et en Afrique.
Grâce à ces efforts, Macron a pu empêcher la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le chancelier allemand Scholtz et le Premier ministre néerlandais Dick Schuff de venir à Bakou, mais le continent africain ne l'a pas suivi et a été représenté le plus largement possible à la COP29.
L'approche de Macron à l'égard d'un événement d'une telle importance mondiale à travers le prisme de ses préjugés personnels est une autre indication du complexe d'infériorité dont il souffre en tant que personnalité politique. La COP est un événement de l'ONU, et l'Azerbaïdjan en est l'hôte. La France est l’un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, ce qui signifie qu’elle doit redoubler d’efforts pour assurer le succès des événements de l’ONU et améliorer la réputation de l’organisation. Or, dans le cas présent, nous voyons la France, et notamment son président, adopter une attitude de sabotage à l’égard de l’ONU.
Un autre point concerne la philosophie de la COP elle-même. Comme on le sait, l’objectif du monde entier est de s’unir à la COP dans une lutte collective contre le changement climatique. Or, la France a choisi une voie non constructive sur cette question également, en tentant de boycotter l’événement.
Une fois de plus, Macron montre par ces actions qu’il ne peut pas accepter que l’Azerbaïdjan libère ses terres de l’occupation arménienne après 30 ans. Jusqu'à la guerre patriotique de 44 jours de 2020, alors que nos terres étaient occupées, la France s'efforçait de d’entretenir des relations de haut niveau avec l’Azerbaïdjan. Cependant, après la libération de ses territoires par l’Azerbaïdjan, ces relations ont pris une tournure complètement opposée.
Depuis lors, la France n’a mené qu’une politique de partialité, de méchanceté et de haine à l’égard de l’Azerbaïdjan. Il est évident que la France arme l’Arménie, lui fournit toutes sortes de soutiens économiques et politiques et prépare Erevan à la revanche. Sur la question du soutien à l’Arménie, l’Inde suit la même voie que la France. Comme indiqué précédemment, comme la France, l’Inde est également insatisfaite des résultats obtenus à la COP29. De même, l’Inde est activement engagée dans l’armement de l’Arménie, tout comme la France.
Malgré les efforts de Macron, la COP29, organisée par l’Azerbaïdjan, s’est tenue à un niveau élevé et s’est conclue avec succès. Des représentants de 198 pays ont participé à l’événement, avec près de 80 000 personnes inscrites. Il s’agissait de la deuxième COP la plus importante en termes de participation, après la COP28.
Les pays africains souffrant considérablement des effets du changement climatique, en raison des actions de pays coloniaux comme la France, ont envoyé des délégations plus larges à la COP29. En outre, l'Azerbaïdjan est devenu un lieu de rencontre pour les représentants des petits États insulaires touchés par le changement climatique et des nations victimes des politiques coloniales de la France, des Pays-Bas et d'autres, leur permettant de faire entendre leur voix.
La partialité de Macron contre l’Azerbaïdjan continuera de ne produire aucun résultat à l'avenir comme il était jusqu’à présent.
Le président français perd de jour en jour sa réputation à cause de sa politique. Les Français comprennent déjà qu'il est incompétent. Ceci est confirmé par le dernier sondage.
Selon les résultats d'une enquête menée par l'Institut Elabe à la demande de la chaîne de télévision française BFMTV, environ 63 % des personnes interrogées estiment que la démission de Macron serait nécessaire si une motion de censure était déposée contre le gouvernement.
La majorité de la population française tient Macron pour responsable en cas de un tel vote.
Il semble que jour après jour, la cote de popularité de Macron continue de baisser, tant au niveau national qu'international. Il vaudrait donc mieux pour le président français de se concentrer sur sa propre crédibilité que d'élaborer des coalitions politiques biaisées à l'encontre de l’Azerbaïdjan.
Texte traduit par l'APA
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