« Le 9 avril, la session à huis clos du Parlement arménien sur la question de la délimitation de la frontière entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie a été plutôt tendue et le ministre des Affaires étrangères Ararat Mirzoyan a soutenu avec persistance les thèses proposées par le Premier ministre Nikol Pashinyan », relate l'APA citant le journal arménien Joghovurd.
« Le vice-Premier ministre Mher Grigoryan s'est montré plus constructif dans les discussions et a déclaré qu'il était prêt à participer à une telle réunion au cas où l'opposition parlementaire reprendrait l'initiative. Il ressort clairement des réponses de Mirzoyan et Grigoryan qu’en réalité, les autorités arméniennes ne savent pas encore exactement quand commenceront les travaux de délimitation de la frontière et quelles cartes serviront de base », écrit le journal.
Selon la source, l'opposition parlementaire a déclaré que la ligne de contact établie le 24 septembre 1993 devait servir de base à la délimitation et à la démarcation.
« En outre, l'opposition a déclaré qu'en aucun cas aucun territoire ne devrait être cédé à l'Azerbaïdjan sans référendum. Les réponses d'Ararat Mirzoyan et Mher Grigoryan aux questions posées étaient vagues », note Joghovurd.
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t.me/apanewsaz
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