En 2020, le document a été approuvé lors du sommet de l’OTSC à Erevan et tous les ministres l’ont approuvé, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans une interview accordée aux médias locaux, rapporte l'APA.
Selon lui, le document prévoyait la fourniture d'armes supplémentaires pour la protection des frontières, la réalisation de formations spéciales et le déploiement de la mission de l'OTSC à la frontière : « C'est le cas. Cependant, le Premier ministre arménien, qui a ouvert le sommet le lendemain matin, a annoncé qu'il n'était pas possible de parvenir à un consensus. »
Lavrov a également évoqué du déploiement de la mission de l'Union européenne et a noté que cette mission était promise pour deux mois, mais qu'elle est désormais indéfinie : « Il y a déjà des Canadiens là-bas. Ils veulent même impliquer d’autres membres de l’OTAN. Ce sera une mission de l'OTAN, pas de l'Union européenne.»
Lavrov a également répondu aux accusations de l'Arménie contre l'OTSC.
Le chef du ministère des Affaires étrangères a souligné que les dirigeants arméniens n'avaient pas encore fini de définir les frontières du pays et que, dans une telle situation, il est trop tôt pour parler de la nécessité de définir la zone de responsabilité de l'OTSC en Arménie : « Par conséquent, avant de dire que l'OTSC doit définir sa propre zone de responsabilité, il faut déterminer les frontières de l'Arménie et achever la délimitation. C’est à cela que font face les dirigeants arméniens. »
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t.me/apanewsaz
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