"Après le rétablissement de la souveraineté sur tous les territoires de l'Azerbaïdjan et la libération du régime illégal, la délégation arménienne doit enfin accepter la nouvelle réalité et se concentrer sur le respect des obligations qu'elle a contractées."
C'est ce qu'a été indiqué dans la réponse de la représentation permanente de l'Azerbaïdjan auprès de l'OSCE à la délégation arménienne, rapporte l'APA.
Le communiqué indique que l'Arménie, qui est entièrement responsable du déclenchement d'une guerre d'agression contre l'Azerbaïdjan et qui avaient occupé 20 pour cent du territoire de l'Azerbaïdjan en violation du droit international et des principes de l'OSCE, est le dernier pays qui peut donner des leçons aux autres sur les droits de l'homme, les questions juridiques et historiques.
"La souveraineté de l'Azerbaïdjan sur l'ensemble du territoire après le rétablissement et la libération du régime illégal de "Mickey Mouse" créé par l'Arménie dans les anciens territoires occupés, la délégation arménienne devrait enfin accepter et se réconcilier avec la nouvelle réalité, avec les trois lignes normalisation des relations interétatiques fondées sur la reconnaissance mutuelle et le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de chacun, il devrait se concentrer sur le respect de ses obligations", lit-on dans la réponse.
La déclaration souligne également que la délégation arménienne devrait rechercher les véritables raisons qui poussent les résidents arméniens du Karabagh à quitter la région au cours des 30 années de politique d'occupation de leur pays.
Il a été rapporté que les responsables arméniens encourageaient ouvertement les idées de discorde ethnique et de haine contre l'Azerbaïdjan afin de justifier leur désir d'annexer le Karabagh à l'Arménie.
"L'Arménie doit enfin comprendre que la paix et les relations de bon voisinage avec l'Azerbaïdjan, fondées uniquement sur la reconnaissance mutuelle de la souveraineté et de l'intégrité territoriale, peuvent garantir la sécurité régionale, instaurer la confiance et éliminer les conséquences de près de 30 ans d'occupation des territoires azerbaïdjanais, et garantir le coffre-fort et peuvent façonner les conditions du retour volontaire. Cependant, les déclarations d'aujourd'hui de la délégation arménienne montrent que l'Arménie en a peur", indique le communiqué.