"De telles déclarations du ministre arménien des Affaires étrangères, visant à semer la confusion dans la communauté internationale, ne reflètent pas la réalité."
C'est ce qu'a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères d'Azerbaïdjan, Aykhan Hadjizadé dans son commentaire sur l'interview du ministre des Affaires étrangères d'Arménie Ararat Mirzoyan, publiée dans l'agence Anadolu.
"Ainsi, il est regrettable que l'Arménie tente de faire oublier qu'elle a violé pendant 30 ans les principes tels que l'importance du respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale, la déclaration d'Alma-Ata de 1991 sur la question de la délimitation de la frontière entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie, ainsi que la souveraineté, la juridiction et l'égalité des pays pour l'établissement des transports et relations économiques dans la région.
En outre, après la Guerre Patriotique de 44 jours, Les faits indéniables selon lesquels l'Arménie viole de manière flagrante les dispositions de la déclaration tripartite, ne retire pas les forces d'occupation des territoires de l'Azerbaïdjan, continue de transférer des armes, du matériel militaire et des mines vers nos territoires et commet d'autres violations et provocations flagrantes, ainsi que les déclarations encourageant le soi-disant régime, indiquent les véritables intentions de la partie arménienne.
Les revendications de l'Arménie contre l'intégrité territoriale et la souveraineté de notre pays sont inversement proportionnelles aux opinions exprimées par le Ministre des Affaires étrangères. Les réserves qu'ils ont formulées en adhérant à la déclaration d'Alma-Ata, à laquelle la partie arménienne fait toujours référence, ainsi que l'existence d'actes législatifs valables à l'encontre de la reconnaissance du Karabagh comme partie intégrante de l'Azerbaïdjan sont connues de tous.
Le fait que la partie arménienne ait empêché l'ouverture des lignes de communication au cours des trois dernières années sous divers prétextes, contrairement aux accords et engagements conclus, n'a proposé aucune solution pratique pour parvenir à un accord sur la question et n'a fait que a prononcé une série de discours populistes font partie des facteurs qui ne contribuent en aucune manière à la coopération dans la région.
Au lieu de telles provocations et de telles pensées pleines de manipulation politique contre l'Azerbaïdjan, la partie arménienne devrait respecter ses obligations internationales non pas en paroles mais en actes et contribuer au processus de paix", lit-on dans le commentaire du ministère.
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